Ici j’aimerai que tu te sentes comme chez toi et que tu te sentes libre de pouvoir discuter avec moi et toutes les personnes qui viendront ici en toute liberté.

Lorsque j’ai écrit mon livre, cela était important pour moi de pouvoir écrire à la deuxième personne du singulier pour s’adresser à mon lectorat.
« Je vais te parler à la deuxième personne comme si nous étions amies et que nous nous connaissions, pour que tu puisses entrer plus facilement dans mon histoire«
Sur le chemin d’une maman Stéphanie Collot
Je trouvais cela plus facile et naturel pour moi. Cela me ressemble tellement !
En effet, je considère que le respect peut se garder même en utilisant le tutoiement.

Du plus loin que je me souvienne, le respect est une valeur importante aux yeux de ma famille. Il s’agit d’une valeur qui m’a été transmise. Lorsque j’étais enfant, on m’a expliqué que cela passait par le vouvoiement. Je vouvoyais donc toutes les personnes et surtout celles que je ne connaissais pas et celles qui étaient plus âgées que moi.
Puis, j’ai grandi ! Je suis devenue adulte et surtout une professionnelle travaillant en équipe. Le tutoiement entre collègues ou personnes travaillant ensemble, malgré la hiérarchie, et les personnes extérieures à la structure, était de rigueur dans mon métier. Cela facilitait les échanges. Le respect était également présent.
Le vouvoiement était réservé aux familles, pour mettre de la distance et garder une relation de confiance et de respect.

Ici, je considère toutes les personnes comme des amies qui se respectent et s’entraident.
Parler à la seconde personne du singulier me permet d’être naturelle. Je te considère comme une amie à qui je partage des secrets.
Je souhaite donc pouvoir échanger et partager avec toi en toute liberté et simplicité !
Sens toi donc libre de me partager tes avis, tes remarques et ton histoire si tu le souhaites pour pouvoir échanger ensemble.
Je te dis donc à très vite !
Et je te souhaite une belle aventure sur ton chemin.
Stéphanie, Libellule de la parentalité